6 février 2009
En 1840, faisant la critique du dernier salon,
En 1840, faisant la critique du dernier salon, Baudelaire écrivait:
<< Nous cherchons le vrai peintre, celui qui peut saisir la qualité de la vie d'aujourd'hui et peut nous faire voir et comprendre avec son pinceau et son crayon, combien nous sommes grands et poètiques en cravate et en chaussures.>>
Dorothy Seton, une jeune fillle d'Eve 1902
Ce modèle rappelait à Whistler la " vendeuse de crevettes" de Hogarth. A la fin de sa vie, il peignait péniblement, mais de ce tableau, il se félicita: <<Je l'ai fait ce matin en deux heures...>>
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